Les règles en matière de référencement naturel ne cessent d’évoluer et il n’est pas toujours simple de s’y retrouver. Il n’existe pas de recette magique pour obtenir un bon positionnement, car l’autorité de votre site joue un rôle important. Mais les liens entrants qui permettent d’augmenter ce score étant trop souvent manipulés par des sites prêts à les acheter à prix d’or, Google affine ses algorithmes pour améliorer la pertinence des résultats de recherche. C’est une bonne nouvelle pour les sites qui misent sur la qualité et n’ont encore qu’une faible autorité. Comment obtenir plus de trafic qualifié en 2024 grâce à son contenu ? Découvrez mon guide des bonnes pratiques à connaître !
Contexte et fondamentaux de la rédaction web SEO
La rédaction SEO doit suivre l’évolution des algorithmes
Lorsque vous rédigez pour un moteur de recherche comme Google, votre contenu est analysé par une cinquantaine d’algorithmes, dont une vingtaine qui sont réellement décisifs pour votre positionnement. Parmi ces algorithmes certains analysent l’autorité du site sur un sujet, d’autres ses performances techniques et d’autres enfin, jugent la qualité du contenu. Vous comprendrez grâce à cet aperçu rapide à quel point le contenu tient une place prépondérante en 2024 :
- 1 seul algorithme (PageRank) prend en compte l’autorité de votre site (les urls provenant d’autres sites web qui pointent vers votre site) ;
- 5 algorithmes analysent l’optimisation technique des contenus (vitesse de chargement, sites “mobile friendly”…) ;
- … Et plus de 14 algorithmes tiennent comptent de la qualité de votre contenu (!).
14 algorithmes, c’est beaucoup ! Cela explique surtout les fréquentes mise à jour. Les règles de rédaction SEO sont en effet amenées à évoluer à chaque fois que Google juge nécessaire de réaliser des améliorations. Et elles n’ont jamais été aussi nombreuses depuis l’arrivée de Chat GPT, car Google craint une diminution de la qualité de ses résultats de recherche ! Mais n’allez pas croire pour autant que les updates Google partent dans tous les sens. Le moteur de recherche suit des fondamentaux précis qu’il convient de connaître pour anticiper au mieux les tendances.
Les algorithmes à connaître pour ne pas subir de pénalités
Voici les principaux algorithmes à connaître avec leurs objectifs et leur fonctionnement :
Nom | Objectif | Déploiement |
Panda | Il évalue la qualité du contenu du site dans son ensemble avec notamment le ratio de pages zombies (pages de faibles qualités et peu consultées). Sanction quand le ratio est élevé. | Lors des core updates (mises à jour du cœur de l’algorithme, environ 2 fois par an) |
Articles de fond | Il met en valeur les contenus qui cumulent les signaux de qualité : – traitement complet du sujet ; – signature de l’article ; – mention de sources faisant autorité. | En temps réel (donc à tout moment) |
Helpful content | Il pénalise les sites qui semblent rédiger avant tout pour les moteurs de recherche et récompense ceux qui apportent du contenu utile. Il est rattaché depuis peu à l’algo du cœur. | Lors des core updates |
Fraicheur | Il favorise les contenus les plus récents lorsque c’est pertinent (certains secteurs sont amenés à évoluer très régulièrement). | En temps réel |
Connaître les algorithmes importants permet d’anticiper les tendances, mais il existe des fondamentaux qui ne bougent pas au gré des mises à jour Google. Il n’est donc jamais superflu de les connaître (ou de les rappeler).
Les fondamentaux de la rédaction web SEO
On peut les résumer en 3 points essentiels :
- Une requête principale. Un article doit répondre à l’intention de recherche mise en avant dans votre titre. Il va donc falloir choisir sur quel mot clé principal vous souhaitez vous positionner. Souvent, il s’agira d’un ensemble de mots-clés, comme “voyage Espagne pas cher” ou “aménager une petite cuisine”. On dit souvent “un article SEO = un mot clé”. C’est un peu schématique, mais ça permet de ne pas trop s’éparpiller ;
- Un article en accord avec le mot-clé principal. Il faut impérativement que Google comprenne que votre article répond bien aux attentes de l’utilisateur. Cela passe par un champ sémantique soigneusement délimité (des outils comme YourTextGuru, 1.fr ou encore Semrush peuvent vous y aider). Les mots-clés devront ensuite être placés de façon naturelle dans l’article ;
- Un balisage HTML clair et cohérent. C’est un rappel, mais qui peut toujours être utile. Tout article devrait toujours contenir un Title (titre apparaissant dans Google et qui reprend le mot-clé principal), un H1 (qui reprend le title ou s’en inspire en utilisant des synonymes) et des H2 (les sous-titres qui permettent de mieux structurer votre contenu et doivent faire figurer des mots-clés importants). Enfin, vous pouvez insérer des H3 qui aideront à la lisibilité si vos sous-parties sont trop longues.
Ce sont là les bases de la rédaction optimisée pour le SEO que doit maîtriser n’importe quel rédacteur web freelance. Néanmoins, si vous voulez vous donner toutes les chances de ranker, cela risque d’être très insuffisant tant la concurrence est rude en 2024 ! Je vous donne donc toutes les bonnes pratiques pour vous permettre de vous démarquer et plaire à Google.
1- Cerner (à fond) l’intention de recherche
En 2024 plus que jamais, l’heure est au contenu utile. Sur Google, vous rédigez pour des gens qui ont besoin de votre aide. Cela peut sembler évident, mais ce n’est pas si simple à mettre en pratique tant la tentation d’écrire pour les moteurs de recherche peut être importante.
Les biais à éviter
Les rédacteurs web débutants ont tendance à oublier pour qui ils écrivent réellement (je suis passée par là !). Ils s’adressent à Google qu’ils voient comme un professeur qui distribue des bons et des mauvais points. Ils voudront donc jouer les élèves appliqués et chercheront toutes les validations possibles. Voici 3 indices qui montrent que vous vous trompez de cible lorsque vous rédigez un article :
- Vous accordez une grande importance aux notations de Yoast SEO (le plugin d’optimisation SEO WordPress) ;
- Vous êtes prêts à ajouter des dizaines de mots-clés pas forcément élégants, juste pour obtenir un bon score sur 1.fr ;
- Vous vous astreignez systématiquement à rédiger au minimum 1 000 mots peu importe l’article.
Ces critères peuvent constituer une boussole si vous partez de zéro, mais cela peut vous éloigner du réel objectif de votre article : répondre au mieux aux questions que se posent vos lecteurs. Pire, se focaliser sur ces différents points peut rendre vos contenus indigestes et creux. Tout ce qu’il vaut mieux éviter pour faire passer un bon moment à vos lecteurs !
En ayant pour objectif premier de satisfaire les algorithmes, vous risquez d’oublier que votre article n’est pas une formule mathématique. C’est un piège dans lequel tombe de nombreux rédacteurs au début, alors même qu’ils sont soucieux de bien faire.
L’analyse des comportement utilisateurs en 2024
Google a déployé en 2022 l’algorithme “Helpful Content” pour mettre l’expérience utilisateur au centre de ses algorithmes.
Depuis cette mise à jour, le comportement des internautes est scruté à la loupe par Google. Des articles pas forcément optimisés se retrouvent maintenant en première page alors que d’autres qui semblent parfaitement calibrés pour les moteurs de recherche chutent dans les résultats !
Pourquoi ? Tout simplement parce que Google donne à présent le pouvoir à ses utilisateurs de valider ou non le contenu d’un article. Vous n’êtes plus jugés seulement par des algorithmes mais bel et bien par des humains. Pour y parvenir, Google va analyser les signaux utilisateurs de vos articles (temps passé par page, taux de rebond, clic sur “page précédente” pour chercher une réponse ailleurs…).
Écrire pour les utilisateurs passe donc en 2024 par une fine compréhension de l’intention de recherche de vos lecteurs. Cette étape est essentielle pour résoudre leur problème et obtenir ainsi des bons signaux utilisateurs.
Les astuces pour trouver l’intention de recherche rapidement
L’optimisation SEO reste capitale, mais elle doit se faire au service de l’intention de recherche. Si vous la cerner mal, vous risquez de ne pas utiliser le bon modèle d’article et c’est toute votre stratégie SEO qui pourrait en pâtir. Pour éviter de commettre cet impair, vous allez devoir passer par différentes étapes :
- Observez quels contenus se placent en première page sur le sujet que vous voulez traiter (avec une attention particulière portée aux titres) ;
- Portez une attention particulière aux PAA (People Also Ask) : l’encart “autres questions” de Google est précieux, puisqu’il va vous permettre de mieux comprendre l’intention de recherche derrière une requête et de mettre en place un maillage interne pertinent.
- Cherchez à être aussi pédagogue que possible : s’il y a des points qui vous semblent peu clairs sur les différents articles que vous consultez, c’est une excellente opportunité pour vous. Vous allez pouvoir aller plus loin dans le traitement du sujet et vous démarquer de la concurrence en clarifiant ce qui nécessite de l’être. C’est le meilleur moyen de satisfaire l’algorithme “helpful content”. L’idéal est en effet d’être le dernier contenu que l’internaute consultera car il aura trouvé la réponse à sa question ! ;
- Assurez-vous que les informations utiles sont facilement accessibles. Il ne faut pas que les informations les plus importantes soient noyées dans la masse. Pensez donc à traiter les sujets en pyramide inversée : allez droit au but et délivrez les informations les plus essentielles en premier.
Les récentes “core update” de Google ont consolidé le poids des signaux utilisateurs dans le classement des résultats. L’importance donnée à l’intention de recherche devrait donc encore se renforcer en 2024.
2- Viser les mots-clés longue traîne
Comment trouver de bons mots-clés ?
Pas de contenu sans mots-clés. Pour les trouver, vous pouvez :
- Utiliser l’extension gratuite keyword surfer : elle va vous permettre de connaître instantanément le volume de recherche d’un mot-clé ou d’une expression lorsque vous les tapez sur Google. Même si l’estimation n’est pas toujours fiable à 100%, c’est une excellente boussole.
- Prendre un abonnement ahref ou semrush. Ce sont des outils complets pour réaliser des audits sémantiques et ils vous feront gagner un temps précieux dans le choix de vos sujets d’article. Néanmoins les tarifs sont relativement élevés (à partir d’une centaine d’euros par mois) ;
- Faire confiance à votre intuition. Je suis sûre que vous savez d’instinct quel mot-clé est le plus recherché entre “coloration rousse” et “coloration vert sapin”. Souvent les outils de recherche de mots-clés ne feront qu’affiner votre pressentiment.
Pourquoi les mots-clés longue traîne sont si efficaces ?
Un article rédigé pour le SEO contient toujours un mot-clé principal qui va donner l’axe de votre article et permettre aux moteurs de recherche de comprendre le thème de l’article. Les mots-clés les plus tapés par les internautes sont nécessairement les plus concurrentiels. Si un site web est récent et doté d’une faible autorité, il est donc inutile de chercher à se placer en première page sur ces requêtes. Il se retrouvera fatalement dans les tréfonds des moteurs de recherche.
Pour être bien référencé, il va donc falloir chercher les mots-clés stratégiques. Visez ceux qui n’ont pas été identifiés par vos concurrents, mais qui présentent un volume de recherche intéressant pour vous.
Deux exemples :
- La requête “que faire à Annecy” est beaucoup plus concurrentiel que “que faire à Annecy en été”. Vous arriverez facilement à vous placer sur la deuxième requête si l’article est de qualité. Il sera donc plus simple de vous positionner sur cette requête concurrentielle si vous avez une faible autorité.
- La requête “quotient familial” est une requête très concurrentielle. Il est quasiment impossible d’être en première page à moins d’être un site institutionnel. Visez plutôt des requêtes comme “quotient familial bas” ou “avantages du quotient familial”, beaucoup moins concurrentielles et plus qualifiées.
De plus, sachez que les requêtes les plus tapées sont rarement les plus intéressantes. Elles correspondent souvent à des recherches génériques et peu intentionnistes. En d’autres termes, sur la masse de personnes qui cherchent ces mots-clés, beaucoup n’ont qu’un faible intérêt pour la question.
Les requêtes de longue traîne sont au contraire beaucoup plus qualifiées, car beaucoup plus précises. Les utilisateurs qui se rendent sur votre page ne le font pas par hasard. C’est particulièrement vrai dans le e-commerce. Les requêtes commerciales comme “citroën d’occasion” présentent un potentiel de conversion beaucoup plus intéressant que des termes génériques comme “voiture”. Elles permettent donc d’obtenir un trafic sur mesure qui ne peut qu’être bénéfique pour votre site.
Voici donc une règle à retenir absolument : mieux vaut être en première page d’une petite requête (moins de 100 recherches par mois), qu’en page dix d’une grosse requête (plus de 1 000 recherches par mois). Lorsqu’un site a atteint un niveau d’autorité correct auprès de Google, il lui sera plus facile de se positionner sur des requêtes de moyenne traîne (entre 100 et 1 000 recherches par mois) qui sont bien souvent les plus intéressantes.
3- Donner un angle original à chaque article SEO
Le risque lorsqu’on rédige un article est de se contenter de faire de la récup’. J’entends par là restituer ce qu’on peut trouver partout ailleurs dans un article qui viendra rejoindre la longue liste des contenus insipides et indigestes que nous réservent parfois les moteurs de recherche.
Ces articles ont très peu de chance de ranker car Google déteste les sites qui n’apportent rien de neuf à des thématiques déjà traitées en masse (cela s’apparente à du content spinning et Google sanctionne cette pratique). Problème, réaliser des contenus originaux sur des sujets déjà abordés des centaines de fois par d’autres sites, ce n’est pas facile.
Il vous faudra donc faire preuve de créativité. La bonne nouvelle, c’est que vous pouvez miser sur le fond, mais aussi sur la forme pour vous différencier en rédaction SEO. Voici ce que vous pouvez faire pour vous démarquer de la concurrence :
- Donner clairement son avis. Si vous devez écrire un article sur “comment réduire ses impôts”, évitez les listes à la Prévert. Les utilisateurs n’ont que faire d’avoir une liste de tous les dispositifs possibles, s’ils n’ont aucune idée de ce que vaut réellement chaque solution. Sélectionnez les meilleures options et justifiez vos choix. Cela vous permettra d’apporter un point de vue différenciant et donc de vous démarquer de la concurrence ;
- Apporter de la personnalité à ses contenus. Google aime les contenus qui apportent de la nouveauté. Son but est que la SERP (les dix premiers résultats de recherche) soit aussi diversifiée que possible. Il faudra donc vous creuser la cervelle pour faire différemment. Cela peut passer par l’ajout d’infographies, de graphiques, des exemples étonnants… Bref, tout est bon pour se démarquer (tant que ce que vous dites est vrai, bien sûr !).
4- Chercher à atteindre l’exhaustivité sur un sujet
Ce point est essentiel car il répond à 2 problématiques que votre site doit absolument gérer correctement pour éviter les pénalités algorithmiques :
- Créer des contenus utiles à tous. Lorsqu’on fait une recherche sur Google, c’est généralement pour obtenir une réponse à une question qu’on se pose. Sauf que d’un utilisateur à l’autre, les attentes ne seront pas les mêmes. Viser l’exhaustivité va donc vous permettre d’éviter que des lecteurs ressortent insatisfaits de votre page. Le manque d’exhaustivité est quelque chose qui peut être très pénalisant pour un site, puisque Google est à présent capable d’analyser le comportement d’un utilisateur d’un site à l’autre. Le maillage interne est alors un allié précieux si vous ne souhaitez pas surcharger l’article. Plus vous aurez d’articles en relation les uns avec les autres, plus l’expérience que vous proposerez à vos utilisateurs sera bonne (en leur évitant par exemple de faire 10 recherches Google sur une thématique).
- Montrer votre autorité sur un sujet. Les critères E-E-A-T (expérience, engagement, autorité et confiance) sont de plus en plus mis en avant par Google pour classer les sites. Or, cela passe essentiellement par la qualité de vos contenus. Ce critère joue à la fois individuellement (comment Google va vous placer sur un article donné) et dans sa globalité (quelle autorité le moteur de recherche attribue à votre site). En d’autres termes, mieux vaut pas d’article du tout plutôt qu’un article médiocre qui pourrait pénaliser tout votre site. En effet, produire trop de contenus de faible qualité ou incomplets, c’est courir le risque de subir une pénalité Google sur TOUT votre site. Si certains articles que vous avez déjà écrits sont peu étayés, retravaillez-les pour aborder des aspects qui auraient pu être oubliés.
L’exhaustivité est donc un élément qui va vous permettre de vous faire bien voir auprès des utilisateurs et de Google. C’est donc un point absolument primordial, mais qui suppose d’approfondir à fond les sujets qu’abordent votre site. C’est aussi la raison pour laquelle il vaut mieux éviter les services de rédaction à bas coût.
5- Soigner l’expérience utilisateur (indispensable en 2024 !)
On ne le dira jamais assez, ce ne sont pas les algorithmes qui vous lisent. Une rédaction optimisée pour le SEO doit donc favoriser une expérience de lecture agréable. Des pages impeccables permettent d’éviter de faire fuir les utilisateurs quand ils atterrissent dessus et donc de soigner sa réputation auprès de Google. Une expérience utilisateur réussie passe par un article aéré et bien structuré. Voici quelques astuces à appliquer pour l’améliorer :
- Faire des paragraphes courts. Si une partie commence à être un peu longue, il est conseillé d’ajouter des H3 pour redonner de la lisibilité à l’ensemble ;
- Éviter les balises H4. Attention néanmoins car trop de niveaux de titres peut au contraire dégrader la lisibilité. Si vous vous voyez contraint d’ajouter des H4, essayez de voir si vous ne pouvez pas revoir le plan pour les faire apparaître en H3 ;
- Privilégier les listes à puces dès que possible. Elles aident les utilisateurs à repérer rapidement les informations utiles ;
- Ajouter des graphiques quand une démonstration est complexe. Certains points sont plus compréhensibles avec des visuels. C’est quelque chose qui améliore grandement l’expérience utilisateur ;
- Soigner son style d’écriture. Un article bien écrit aura plus de chance de retenir l’attention de vos lecteurs. Vous pouvez même vous permettre des touches d’humour qui créent de la proximité (lorsque le sujet s’y prête).
6- Ajouter des exemples pour optimiser votre rédaction SEO
Les exemples sont extrêmement puissants à différents niveaux :
- Ils aident les utilisateurs à comprendre des points parfois complexes, ou à se projeter plus facilement ;
- Ils vous permettent de vous démarquer de la concurrence, ce que Google tend à valoriser. Rappelons-le, Google déteste les contenus qui se contentent de résumer des informations qu’on trouve partout ailleurs ! ;
- Les utilisateurs cherchent très souvent des exemples sur leur barre de recherche. En ajoutant des exemples dans vos contenus, vous vous donnez plus de chance de ranker sur ces requêtes !
Si vous êtes rédacteur web, appliquer ces différentes méthodes d’optimisation vous permettra d’augmenter vos tarifs !
7- Soigner son autorité auprès de Google
Qu’on le regrette ou qu’on s’en réjouisse, la rédaction SEO est aujourd’hui indissociable d’une forte autorité auprès de Google. C’est particulièrement le cas lorsqu’on vise des requêtes à fort volume de recherche et/ou très concurrentielles. Il est donc vivement recommandé d’acquérir des backlinks auprès d’autres sites réputés vers vos pages stratégiques.
Ce point ne concerne pas directement la rédaction SEO, mais cela permet de comprendre pourquoi 15 mises à jour d’un article ne changeront rien si vous visez une requête très concurrentielle. La réponse sera certainement à chercher du côté de votre stratégie de netlinking.
L’astuce en plus : pensez à relayer vos articles sur les réseaux sociaux
Les stratégies multicanales sont de plus en plus valorisées par Google. Les sites qui obtiennent beaucoup de trafic depuis d’autres canaux (réseaux sociaux, newsletters…) tendent à mieux se positionner sur Google. A contrario, les sites qui n’écrivent que pour le SEO perdent des places dans les moteurs de recherche. Les stratégies multicanales ont d’ailleurs très certainement eu leur importance lors des “core update” d’octobre et novembre 2023. Les sites récents qui avaient tout misé sur le SEO ont perdu du trafic, car Google a considéré que s’adresser uniquement aux moteurs de recherche, fragilisait leur score E-E-A-T. Il est donc important de diversifier vos sources de trafic. Cela vous permettra, en outre, de fidéliser davantage vos lecteurs, élément qui est interprété comme un signal de qualité par Google.